Une "petite" balade...

( oui )
La plus jeune gamine fut la première à remarquer l'homme entrer, l'air de chercher quelques choses. Elle en averti son paternel, juste aux yeux qu'elle fesait, de peur que l'homme ne la batte ou quoi que se soit de souffrant...Le père décida de prendre son pieux dans le feu et de le coller à la jambe de l'être qui venait de défoncer la porte (malheureusement ce n'est pas lui xD c'est moi^^') . Il s'éloigna le plus loin possible de l'elfe, croyant qu'il ne le tuerait pour son geste.

Pendant ce temps, Eris suivait le bruit aïgu dans sa tête, mais soudain il s'arrêta, signe qu'elle avait trouver la source. Le berceau était vide pourtant. Elle regardait partout sans le voir, mais lorsqu'elle leva la tête vers le plafond, elle se doutait bien qu'il était par dessus le matelas de ses parents, sur le ciel de lit, rouge comme le sang. Elle vit les petits pas ratés de cet être étrange qui flottait dans les airs avec la plus grande imprudence. En voyant une dame entrer dans la pièce, l'enfant s'arrêta soudainement dans le vide, sur le drap qui ornait le lit. Sans savoir où il s'en allait, il se sentait seul et inquiet de ne plus trouver sa mère. Pour être cacher là-haut et sentir sa présence dans le noir, il fallait avoir des pouvoirs...mais pas n'importe lesquels. Phiadra n'eut pas le temps de penser que la jeune puce se trémoussa dans les airs, pour aller s'écraser sur le sol. Juste à temps, la jeune femme ramassait l'enfant avec la plus grande délicatesse qu'elle n'est jamais faite preuve. ce serait un secret après tout...Voyant que l'enfant cherchait en vain sa mère, Eris la chercha à sa place. Elle n'était pas dans la pièce, mais seulement dans la cuisine, cachée sous une table. Voulant en finir au plus vite, elle l'a fit souffrir comme jamais. La jeune femme se tortilla de douleur jusqu'à sa mort, aucun cri n'avait sortis de sa bouche, seulement son dernier soupir..

[Le père décida de prendre son pieux dans le feu et de le coller à la jambe de l'être qui venait de défoncer la porte, bah il t'a blessé à la jambe avec un pieux qui était dans le feu parce qu'il pense que c'est toi qui a défocé la porte de sa maison.]

Le chef d'armée, escortée de la mystérieuse présence fantôme, avait longuement chevauché, avec sa fille, jusqu'au royaume d'Aïkadaé.

**Enfin, c'est bon de rentrer chez soi... Mais qu'est-ce donc? La terre ci-présente semble avoir connu altération...**

Rain Dasher vit plusieurs habitants se regrouper autour d'une maisonnée à la porte défonçée. Des gémissements de deuil en émergeaient. Axel fut surpris de ne voir aucun garde dans les environs. Il se jura d'augmenter la sécurité des villages et des villes avant d'aller plus loin. Il approcha sa monture de la dite-maisonnée. Les habitants, l'ayant vu, baissèrent la tête et lui cédèrent passage. À la porte défonçée, il arrêta sa monture. Il descendit et chuchota à l'oreille de son cheval de rester calme et de l'attendre, tout en veillant sur Angelika. Il dit à cette dernière.

- Veille sur le cheval, Lueur. Je reviens à l'instant. Je ne serai pas partis longtemps, nous sommes en sécurité, à présent... c'est sûrement une petite anecdote de routine bannale.

Il lui fit le baise-main de manière père-fille, puis s'aventura dans la maisonette. Tout sembla sans dessus-dessous. Puis suivit les pleurs puis arriva dans une chambrette. Un malheureux paysan, comme il l'avait été longtemps, pleurait la mort de son épouse, tenant son pauvre nourisson, qu'il tentait de rassurer de peine et de misère.

Axel approcha doucement, puis s'agenouilla à ses côtés... il semblait aveuglé par la peine. Axel posa la main sur l'épaule du pauvre homme.

- Elle nous a quitté dans des circonstances atroces, immorales. Nulle de mes paroles ne saura la ramener, et je sais que vous me reprochez ma négligence.

L'homme ne répondit point... comme s'il restait indifférent à lui... certes, il lui devait un grand respect, mais ce qu'il avait manqué diminuait sa crédibilité. Axel pris sa flûte et tout en chantant un air de mémoire, le joua, pour démontrer ses sypathies.

- Je ne peux effacer le passé, mais je peux préserver l'avenir et le présent. Et pour ce faire, j'ai besoin de votre aide. Elle aura des funérailles adéquates. Mais j'ai besoin de savoir.

Puis il ravala ses sanglots, tout en berçant l'enfant... et répondis.

- L'élue du mal et son protecteur sont venus ici... le protecteur a défonçé la porte et je fus pris de panique... (un temps)... puis je lui enfonçé un pieu dans la jambe... il a déclaré être de mon côté... serait-ce la panique, je ne saurais expliquer pourquoi j'ai cru ses salades... un soldat portant les couleurs du camp ennemi défonçant ma porte, j'aurais dûr m'en douter... puis voilà, ils ont eu ma femme... sniff... puis ils ont dispauru...

Axel lui tint l'épaule.

- Je veillerai à ce que justice soit faite. C'est un acte monstrueux que ce qu'ils ont fait... ainsi, ils ont commençé la guerre. Et bien, elle donc entamée.

Il prit une bourse pleine d'or et la laissa près de l'homme, pour payer les funérailles, et de quoi payer les dommages matériaux... largement... puis se releva et salua, et le laissa doucement, allant retrouver sa monture.

- Le mal est à présent ici. Il n'y a plus de temps à perdre.

Il enfourcha et repris sa place sur Lueur, et filèrent tout trois ainsi jusqu'au château...

Eris ne se présenta pas avec sa vraie "peau", puisqu'elle se trouvait dans le camp ennemi. Elle cherchait des soldats qui pourrait l'aider à vaincre ce peuple et surtout ce royaume pour son bien personnel...Puisqu'elle n'avait pas que ça à faire, elle regarda Demog d'un air gentil, lui demandant de lui faire peur, avec son apparence d'une jolie jeune fille brune au linge plutôt court, sale et brisé à certains endroits. Celle-la évoquait la beauté malgré son accoutrement hors de son commun. Elle avanca vers les paysans entasser en groupe devant une demeure qu'elle connaissait bien...

- Mais qu'est-ce qui s'est passé,ici? murmura-t-elle, dans son personnage, face aux décombres de la porte et aux pleurs de l'homme, que l'on pouvait entendre de l'extérieur.

Elle vit sortir un homme habiller pour combattre une armée complète...même qu'il semblait être armé. Puisque les paysans n'avaient que leur fourche et leurs couteaux, ils n'étaient que des mouche dans un bocal. Elle le suivit en direction du château, repèrant une petite sur une selle...Celle-ci était trop curieuse à son goût, mais elle pouvait se faire passé pour n'importe qui ici.

[SUITE AU CHÂTEAU D'AÏKADAÉ, POUR MOI ET ANGELIKA, SI ELLE VEUT BIEN]

Edit Eris:[Pour le moment êtes-vous en chemin? ou simplement au château?]