À l'entré du château

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Angelika perdit son sourire lorsqu'elle vit le visage sombre et enragé de son père. Délicatement, elle prit ses mains entre les siennes et elle déposa sur son frond un doux baiser.

Mon père, je sens ta rage à travers mon âme mais je te pris de ne pas réagir ainsi. Je n'ai rien à te reproche et personne n'a rien à te reprocher. Chaque être humain fait des erreurs. Même un homme aussi sage que toi. Montre moi le sourire que tu portes tous les jours et allons nous entraîner avec Opale,

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Axel ne voulait pas que la rage soit vue dans son visage. Il se calma. Il ne voulait pas se montrer colérique envers sa fille, qui en plus l'avait défendu, alors que c'était à lui de la protéger. Il la regarda dans les yeux lorsqu'elle lui donna le doux baiser, et tout semblait mieux aller. Puis petit à petit, les coins de ses lèvres oscillèrent vers le haut... et ses yeux se firent réconfortants, un regard protecteur père-fille.

- Pardon de m'être emporté, ma fille. Ce n'est pas contre toi, ni contre Lary que j'en veux... c'est plus profond que cela, je crois.

Il fit une révérence à sa fille. Puis il se tourna vers Opale et lui fit sa révérence également.

- Mes Dames, si vous voulez bien me suivre...

Opale avait suivit tout l'échangeen gardant un silence complet. Puis, Axel proposa un entrainement avec Angelika et elle et sa soeur accepta. Elle regarda le chef de l'armée s,incliner en ne sachant pas quoi répondre. Elle lança un regard vers Oromis, lui demandant en quelque sorte ce qu'il allait faire, lui, mais elle dut retourner son regard sur Axel et elle hacha légèrement la tête. Elle avait déjà son épée à la hanche et son arc. Elle ne savait plus trop si c'était une bonne idée de laisser Oromis seul, mais elle voulait en même temps connaître un peu plus sa soeur...

Oui, mon roi. Je ferai comme vous de demandez.

Il fit un petite révérance au roi. Puis, les choses commencèrent à se bousculer, et Oromis réfléchissait grandement. Axel proposa aux filles de l'accompagner...

Non, maître, attendez. Vous croyez sûrement que j'ai failli à ma tâche. Je la connaissais parfaitement et elle était de vous protéger de ce démon, alors que mes dragons menaient Opale et Angelika au château. Messire, tout sauf votre respect, j'ai respecté cette mission. Par contre, Nara m'a informé qu'Angelika les avaient menés au manoir des Milles Feuilles. Je n'ai jamais ordonné à Nara de s'y rendre. Irka, pour sa part, n'a fait que suivre Angelika où elle irait. Lorsque je suis arrivé au château, j'ai fait la rencontre de votre fils...Edwin. Comme le général avait les choses en main, et que Nara me disait où elle était, je suis allé voir si tout allait bien. Par contre, votre fille s'était enfermée dans le manoir, empêchant quiconque d'y rentrer...J'ai donc fait la connaissance d'Opale....et une chose en entraînant une autre, nous sommes tombés sous le charme de l'autre. Maître, dites-moi, est-ce rendu un crime d'aimer? Je reconnais avoir peut-être eu tort, et j'irai voir Angel après avoir vu le roi, mais tout n'est pas de ma faute!

Oromis pleurait maintenant. Il avait tenu son discours sans s'interrompre et cela l'avait empli de plusieurs émotions. Maintenant qu'il avait un entretien avec le roi, Axel ne pouvait, en pratique, rien lui faire...Il laissa son coeur se déverser à son maître, espérant le raisonner au moins un peu.

Opale se tourna de côté quand Oromis parla. Elle fut touchée pas son discour et quand il commença à pleurer, elle alla l'enlacer pour essayer de calmer ses larmes. Ele ginorait comment allait réagir le roi, mais elle était sur d'une chose: Jamais elle aurait été capable de regarder quelqu'un pleurer, encore moins son amant...

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Le chef d'armée, même s'il ne le regardait pas directement dans les yeux, avait écouté les revendications de son garde du corps.

- Aimer n'est pas un mal. Ce n'est pas ça que vous avez fait de mal.

Il posa une main sur sa joue, et lui remonta délicatement le visage, pour cette fois le regarder dans les yeux. En général, un soldat puni accepte toujours sa punition même lorsqu'il la croît injuste, comme Axel venait de le faire. Mais Axel ne voulait pas imposer pareille règle à Oromis.

- Oromis. Ne vous laissez plus jamais détourner de vos engagements. Pas même par votre coeur. Vous devez être plus fort que vos émotions. Ce que je vous reproche, c'est de vous être lié à une fraternisation intime alors que vous auriez dû les escorter au château et me revenir. Les temps sont graves et dûrs. Des ennemis de nul part apparraîssent à tout instant en ce royaume. Vous devez toujours resté vigilant.

Il déposa un baiser sur le front de son garde du corps. Coutume elfique.

- Vous ai-je dit que je vous en voulais, Oromis? Je sais que vous êtes un excellent garde du corps. Jamais je n'aurais voulu vous punir. Tachez simplement dorénavant de faire passer le devoir avant vos sentiments. Et ne dites rien au reste de l'Armée. Ou je vous donne une semaine de congé! Wink

. À présent, allez trouver le roi et Angel par la suite.

[i]Il lui caressa le visage, puis guida les deux dames vers une salle d'entraînement.

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Lorsque Oromis prit la parole, Angelika n'avait que le goût de lâcher des jurons. Il osait inventé qu'elle savait enfermé dans le manoir avec Demog quand elle n'avait que prit une salle pour discuter. Malgré son mécontentement, la jeune demoiselle resta muette le long de leur discution. Par la suite, Angelika se retourna vers son père.

Vous n'avez pas à vous excuser Adar.., dit elle en observant les deux amoureux pleurer.

Elle ne savait pas trop quoi faire dans une telle circonstence alors elle fit volte-face à la porte puis elle se dirigea seul vers la salle d'entraîment où que les autres iraient la rejoindre.

Opale c'était détaché d'Oromis lorsque le chef de l'armée, Axel, lui parla. Elle s'éloigna un peu, pour laisser une sorte d'intimitée au deux hommes. Elle fixa un moment le sol, puis releva ses yeux quand Angelika prit la parole. Elle vit alors cette dernière aller à la salle d'entraînement et Axel semblait aussi y aller. Elle tourna son regard vers Oromis en lui faisant un sourire rassurant en ayant déjà hâte de le revoir. Elle suivit sa soeur et son père par la suite.

Chrystal se déposa tranquillement dans un endroit retirer pour ne pas se faire remarquer par le monde un peu plus loin.

"Bon, passons innaperçue."

Elle bati des ailes pour ensuite se retrouver de l'autre côter des ramparts en esseyant de ne pas se faire voir par les gardes. Elle entra ensuite par une petite porte qui n'était étrangement pas garder.

Oromis avait un air plutôt piteux. Ses dragons avaient voulu le réconforter, mais n'y parvinrent pas. Ce ne fut que lorsqu'Opale lui sourit qu'il se reprit. Elle l'aimait toujours et avait hâte de le revoir. Il avait peut-être perdu des parties de son honneur, et l'estime de son maître, mais au moins, sa bien-aimée éprouvait toujours ce qu'ils avaient ressentis ensemble. Tout n'était pas perdu. Il se releva et redressa la tête. Il appela ses dragons et partis faire un long vol pour se détendre et sentir encore la caresse du vent contre son visage, en attendant sa rencontre avec le roi, plus tard...

Hj: J'ai été absent pendant un bon bout raison de Santer! Mais la je suis pu le forum et je sais même pas se ki se passe quelqun veut m'expliquer?

Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 26/04/2007

On déposa Ambre à l'entrée du château. Elle se demandait maintenant ce qu'elle devait faire. Rester à Aïkadaé lui plaisait mais cela ne plaisait pas à tout le monde...Elle n'osait pas entrer comme sa dans le palais mais elle aurait l'air crétine à rester ici. Elle décida de rester dans le territoire d'Aïkadaé sans avoir à entrer au château car suite à l'invasion, elle partirais de ce territoire...sans doute...

Edwin vu Ambre arriver à l'entrée du chateau. Il s'approcha tout en restant sur ses gardes.

- Mais qui êtes vous et que faite vous ici?

Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 26/04/2007

Ambre fut surpris en voyant Edwin, elle ne l'avait pas vu arriver car elle était occuper à essayer de repèrer la présence de sa soeur. Après quelques euh... elle se repris en main et répondue d'une vois pas très forte et la tête basse.

-je ne suis pas vraiment d'ici, j'étais dans la clairière là-bas et des patrouilleurs venant de Aïkadaé m'ont emmener ici pour ne pas que je sois prise entre deux feux pendant l'invasion.

Elle se sentait un peu mal à l'aise car tout ceci semblait ne pas avoir de sens. Elle remonta un peu la tête.

-Je devrais peut-être m'en aller je ne suis pas d'ici après et je ne veux pas vous causez d'ennuis...

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( pour vous prévenir, c'est la guerre et vous êtes juste devant elle xD Razz

)

Edwin regarda un instent Ambre qui s'emblait si gentille et si belle. Il s'entit alors une mauvaise présence derrière des buisson plus loin. Il prit alors la main d'Ambre pour la placer derrière lui. Si il la laissait libre, elle allait être en danger.

- Rester en arrière de moi Ambre!

Puis un démon apparu derrière le buisson et s'avança droit sur eux. Edwin sortie alors ses 2 dagues et couru en la direction du démon et entra une dague dans l'épaule du démons ou il s'éfondra par la suite jissant par terre.

- Venez Ambre nous devons partir d'ici immédiatement!

Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 26/04/2007

Ambre se laissa prendre la main et resta derrière Edwin, elle le trouvait assez beau elle devait se l'avouer.Elle n,avait pas du tout sentit le démon venir, normalement elle l'aurait ressentit. Elle était un peu sous le choc et tout se apssa si vite et Edwin avait déjà mit le démon à terre.«il est agile» se dit Ambre. Alors quand il lui dit de partir plus loin elle le suivit car dison qu'il connaissait mieux le territoire qu'elle.Elle savait alors que sa soeur était là et la suivait.

Edwin prit alors la main d'Ambre pour qu'elle ne soit pas figée dans le temps. Pour la protégé de tout danger, Edwin arrêta le temps. À ce moment il en profita pour ce rendre en dehor du château au arbres.

- Viens suis moi Ambre.

( suite au arbre dans le continent d'Aïkadaé! )

» Devant le chateau.
» deriere le chateau